Les Rencontres Photographiques du 10e organisent un après-midi de lectures de portfolios à La Colonie.
Les Rencontres Photographiques du 10e organisent un après-midi de lectures de portfolios à La Colonie.
Les Rencontres Photographiques du 10e organisent un après-midi de lectures de portfolios à La Colonie.
À cette occasion, les photographes peuvent présenter leur travail à des experts de l’image : iconographes, galeristes, commissaires d’exposition…. afin d’avoir un regard averti sur la conception, la diffusion ou l’exposition de leurs photographies.
Ces échanges gratuits s’intègrent dans une volonté de promouvoir les jeunes photographes.
Le samedi 19 octobre de 14h à 18h à La Colonie.
Gratuit sur inscription avant le 18 octobre 2019.
Le Comité Artistique de Fetart se compose de 15 curatrices dont le rôle principal est de dénicher et sélectionner les artistes présentés lors des expositions organisées par l’association. Iconographes, commissaires d’exposition, coordinatrices de projets culturels, enseignante en photographie, consultantes en projets culturels, éditrice, photographe, comédienne, régisseuse générale de théâtre… Tout en partageant et protégeant une ligne artistique commune et identitaire, la pluralité des profils des membres du Comité leur permet de proposer une diversité toujours plus grande de sujets, d’écritures, de formes et de projets.
Le Comité Artistique a prouvé depuis maintenant 14 ans sa capacité incomparable à faire émerger les nouveaux talents. Ses membres prennent également en charge l’organisation, la coordination et le commissariat d’une grande partie des projets portés par Fetart. Le Comité participe notamment activement depuis 9 ans au développement du festival Circulation(s), pour lequel il sélectionne chaque année une quinzaine d’artistes. Et plus récemment, Aurélie Lefebvre, l’une des membres actives, a pris la Direction Artistique des Rencontres Photo du 10e.
Pour ces lectures de Portfolios, les membres présents du Comité Artistique seront :
Clara Chalou, Marie Guillemin, Emmanuelle Halkin, Céline Laurent, Aurélie Lefebvre, Claire Pathé et Delphine Rodet.
Mélinda Boisson crée l’agence AGENT MEL en 2013. Autour d’une sélection de talents visuels, AGENT MEL prône une approche valorisant une démarche personnelle des auteurs qu’elle représente. En quête perpétuelle de nouvelles signatures photographiques, celles qui font l’identité de l’auteur et celles qui éveillent la curiosité des détenteurs de projet, Mel soutient un développement artistique qui s’affranchit des courants d’influences.
Acheteuse d’art et coach pour photographes.
Directeur photo du site d’information Les Jours. Il a été auparavant reporter photographe au sein du journal Libération durant 16 ans.
Je m’intéresse aux reportage sous toutes ses formes. Convaincu que les photographes peuvent raconter le réel, le monde avec un point de vue particulier. Je cherche des regards originaux et des histoires plus fascinantes que la fiction.
Auteur-photographe
Pascal Clément a débuté comme photographe professionnel dans les années 1980. Il a notamment travaillé pour différents groupes de presse tout en développant une riche activité artistique. Après avoir exercé comme iconographe pour le magazine Perso il entre aux Editions Jalou en 2002. Il contribue à la création de Muteen, puis rejoint l’Optimum, en tant que Photo Editor.
directeur éditorial du magazine numérique touslesjourscurieux.fr qui est consacré à la photographie sous toutes ses formes et de tous horizons. Il travaille dans ce domaine depuis plus de 40 ans. Précédemment il était directeur de l’achat d’art chez Publicis, éditeur photo dans la presse nationale et internationale (Libération, Fortune, L’Usine Nouvelle, etc.), directeur des formations multimedia au CFPJ, free lance pour la presse et l’édition et responsable des ventes et archives à l’agence photo Viva.
est directrice photo pour le magazine Les Inrockuptibles.
À travers les différentes productions quʼelle organise pour le magazine, lʼhumain est le sujet central de ses collaborations. À la fois devant et derrière lʼappareil, sʼagissant de tenter de provoquer « la » bonne rencontre entre le sujet et le photographe.
Ses commandes auprès des photographes tournant autour du prisme du portrait, elle recherche des sensibilités qui sauront graviter autour de cela mais aussi à sʼen échapper subtilement et ainsi proposer un regard singulier. Par les autres approches iconographiques du magazine, des travaux de reportage ou des travaux sur le corps lui sont également intéressant.
Après des études dʼédition puis de photographie à Paris 8, Aurélie Derhee a été productrice éditoriale pour des événements photo. Elle sʼimplique au sein de la rédaction des Inrockuptibles en 2012.
est journaliste et éditrice photo. Elle a longtemps collaboré à Libération puis dirigé le service photo du Monde. Elle est l’auteur de Roman-Photo, vaste projet de recherche iconographique autour du roman-photo qui a donné lieu à une exposition au Mucem de Marseille en 2017, reprise ensuite au Musée de la Photographie de Charleroi.
enseigne la photographie au Centre Jean Verdier (Paris Xe) depuis 2000.
Il apporte un soin particulier à relier la photographie aux autres arts et propose des clés de lecture des images qu’il décline lors de conférences ( notamment le cycle Une autre histoire de l’Art, à la galerie Binome, Paris).
Avec Oleñka Carrasco, il a fondé Imago, ateliers de création artistique.
Journaliste et critique d’art, il dirige le blog viensvoir.oai13.com et a écrit de nombreux textes d’expositions et de catalogues.
Il est aussi co-directeur artistique de l’Immixgalerie, lieu d’exposition consacré à la photographie contemporaine.
Dans ses projets artistiques personnels, il développe l’image photographique sous une forme de récit photographique, en relation avec la bande dessinée et l’écriture (derniers projets : Oświęcim, le périmètre de la mémoire, et Katyn, ou les retournements de la mémoire).
cherche pour le magazine des photographes alliant mode et portrait. Ainsi que des photographes de nature morte.
Après avoir passé 5 ans au sein de Vogue Paris, Stéphane a travaillé à la production du ELLE, du Grazia avant de participer à la création du premier hebdo de mode gratuit en France Stylist.
Directeur de Création, associé M&C Saatchi Little Stories
Très sensible à la démarche d’auteur, il aime découvrir des talents émergents qui empruntent les codes de la photographie plasticienne ou documentaire, pour produire au travers d’une écriture propriétaire une iconographie étonnante où se conjuguera, sens de la narration, lumière, construction sérielle et témoignage.
En charge de la communication et de l’action culturelle au sein de la Saif – Société des auteurs des arts visuels et de l’Image Fixe.
Créée en 1999, la Saif est une société civile dont la mission est de défendre, percevoir et répartir les droits des auteurs des arts visuels. Elle représente aujourd’hui plus de 7 000 auteurs de tous les arts visuels : architectes, designers, photographes, dessinateurs, illustrateurs, graphistes, peintres, plasticiens, sculpteurs, … Depuis sa création la Saif œuvre pour la protection et la défense du droit d’auteur et entretient un dialogue permanent avec les diffuseurs et les institutions nationales et internationales pour faire entendre la voix des artiste qu’elle représente ; elle joue également un rôle important dans la vitalité artistique et culturelle en France en soutenant des actions d’aide à la création et à la diffusion des œuvres, des actions de formation des artistes et le développement de l’éducation artistique et culturelle.
L’Association Nationale des Iconographes a été créée en 1997 ; c’est une association loi 1901, animée par des bénévoles.
Son but est de fédérer des professionnels autour de la pratique de leur métier tout en suivant les mutations du secteur.
L’association qui a fêté ses vingt ans en 2017, rassemble 200 professionnels de l’image des différents secteurs : iconographe, rédacteur photo, documentaliste, image et acheteur d’art autour d’une même passion pour la photographie et d’une volonté d’unir les savoirs en partageant les expériences mutuelles.
Iconographes présents lors de ces lectures de portfolios :
Agathe Kalfas travaille depuis 10 ans dans la conception et la gestion de projets culturels, en France et à l’international. Après avoir démarré sa carrière au sein du réseau culturel français à l’étranger (Instituts français du Maroc et du Laos, Alliance française de Madagascar), elle devient en 2014 Directrice de Parole de Photographe, association dédiée à la promotion du photojournalisme et à l’éducation à l’image.
Aujourd’hui consultante indépendante en photographie, elle travaille au service des photographes pour le développement et la diffusion de leurs projets (direction artistique, recherche de financements, réalisation d’expositions, édition de livres, démarchage presse,…). Depuis septembre 2019 elle collabore avec Inland, nouvelle structure coopérative de photographes documentaires et internationaux.
Chargée de programmation du cycle de photo-reportage « Escale à la Grange aux Belles »
"J’aime que la photographie informe, témoigne, interpelle, dénonce des situations politiques, sociales, humanitaires, environnementales et ainsi suscite des réactions. J’aime que le photographe soit au cœur du sujet, que son appareil soit l’outil qui lui permette de défendre ses idées, son engagement. Ainsi j’aime que les sujets traités défendent des personnes et des situations qui ne sont pas représentées ou peu dans les médias généralistes. Ou au contraire des sujets qui sont souvent très médiatisés mais dont le manque d’images du quotidien, de ce qui se passe vraiment est flagrant."
Avocat de formation et autodidacte dans la Photo. Après un passage en Agences photo, il fonde il y a une dizaine d’années Pasco and Co qui représente et diffuse des photographes Portraitistes pour la Presse, les Institutions culturelles et le Corporate. Plus sensible aux photographes qui tracent leur propre voie, qu’à ceux qui calquent celle des autres.
est un photographe documentaire français basé à Paris et cofondateur / directeur de Dysturb, un mouvement multimédia hybride. Il a commencé sa carrière pour le quotidien israélien de gauche Haaretz, où il a couvert le conflit israélo-palestinien. Il est retourné en France en 2007 pour travailler en tant que photographe à l’agence Gamma jusqu’en 2009. Depuis, il est photographe indépendant pour le New York Times, GQ Magazine et Paris-Match sur les violences post-électorales au Kenya, le conflit russo-géorgien, en Afghanistan et au lendemain du séisme en Haïti.
Plus récemment, il a couvert la chute de Ben Ali en Tunisie, celle de Moubarak en Égypte, la lutte de libération contre Kadhafi en Libye, ainsi que le conflit en République centrafricaine. Il a également collaboré en tant que réalisateur vidéo avec des ONG telles que l’Agence française de développement (AFD) et l’Unicef, afin de documenter leurs projets au Niger et en Côte d’Ivoire.
Ses photographies ont été publiées dans des revues internationales telles que Paris Match, GQ, le New York Times, Time Magazine. Son travail sur Haïti a été présenté par le ministère de la Culture lors d’une exposition conjointe avec Jérôme Sessini, et des photographies du Printemps arabe ont été exposées au festival de Tbilissi. En 2011, il a exposé chez Visa pour l’image. En 2012, une exposition rétrospective organisée à la galerie parisienne Sophie Rozenberg a été un succès retentissant.
En 2014, il a été nominé pour le visa d’or du festival visa pour l’image. Son travail du conflit en cours en République centrafricaine sera exposé dans Visa pour l’image et à Bayeux.
En 2015, Pierre a co-fondé #dysturb avec Benjamin Girette et Benjamin Petit. Pierre Terdjman est un Fellow de Catchlight 2019.
Récemment, il a exploré les moyens pour les journalistes et les photojournalistes de se connecter avec un public plus large.
est éditeur-photo depuis presque 20 ans, pour la presse principalement (Libération, Geo, National geographic, Neon). Responsable éditorial de l’agence Picturetank pendant 4 ans, Stéphane Ternon est actuellement responsable photo de Philosophie magazine.
Agent et producteur, Slo Slo représente des réalisateurs, photographes, graphistes et Illustrateurs. Slo Slo produit séances photo et vidéos : clips, captation live, EPK…
L’agence intervient également en direction artistique, son rôle est alors de réunir l’équipe optimale pour mettre en valeur l’image d’un projet, avec ses artistes ou des collaborations extérieures , en passant de JB Mondino ou Dominique Isserman à L’école des Gobelins.
Slo Slo reste active et curieuse, invitée régulièrement dans le secteur très créatif de la musique, à des ateliers/ tables rondes sur les questions de l’image /artiste.
Crée par Aurélie Ullrich qui a une expérience de 15 ans dans l’industrie du disque chez Universal, munie d’’un DESS en NTCI, la musique et le milieu culturel sont ses domaines de prédilection.
Après 15 ans chez Universal, en label, son dernier poste « DA image » consistait à créer des équipes artistiques en adéquation avec le projet musical, pour porter, traduire et concrétiser les idées des artistes en photos, vidéo, pochettes, DVD, et toute déclinaison graphique.
Elle s’est ensuite engagée dans la production de captations de concerts chez Angora Prod, à des fins de distribution de DVD, des programmes de télévision comme les Concerts Uniques pour France TV, (un artistes un lieu) pour ensuite, riche de son carnet d’adresses et de son expérience créer Slo Slo. Slo Slo représente entre autres des photographes comme Yann Orhan et Claire Pathé.
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A la faveur de la sortie du premier livre de sa toute nouvelle collection - Prostitution coloniale et post-coloniale - La Colonie organise, une rencontre/débat autour de la question du travail du sexe.
La romancière Cloé Korman et l’historien Pap Ndiaye ont rendez-vous à La Colonie pour débattre du racisme en France.
Après-midi autour de l’ouvrage « Dans la peau d’une poupée noire. Biographies imaginaires des poupées de la collection Deborah Neff.
Elena Sorokina propose une rencontre autour de l’exposition « From Flood to Flight »
Pour soutenir le projet d’ouvrage historique New Waves: L’Ecole de Casablanca, Zamân Books & Curating et La Colonie s’associent dans le cadre d’une soirée de fundraising.
Qu’est-ce qu’un étranger ? Qu’est-ce qu’un « migrant économique » ? Que lire derrière tous ces noms – Schengen, Frontex, Dublin – et ces sigles, OFPRA, CRA, OQTF ?
En partenariat avec L’Afro, co-fondé par Dolores Bakèla, La Colonie propose une soirée projection suivie d’un débat avec la réalisatrice du film "Freedom Fields", Naziha Arebi.
A l’occasion des 25 ans du génocide des Tutsis au Rwanda, Survie, la FIDH et la LDH vous invitent au colloque « Bisesero - L’opération Turquoise face au génocide des Tutsis du Rwanda ».
La Colonie reçoit Louis Pouzin, précurseur des réseaux pour une discussion sur l’avenir d’internet.
« Le savoir sur l’Orient, parce qu’il est né de la force, crée en un sens l’Orient, l’Oriental et son monde », Edward Saïd, 1980.
A l’occasion de la parution de la traduction de la monographie dédiée à l’artiste britannique Sonia Boyce, La Colonie accueille l’artiste ainsi que l’équipe éditoriale.
Face au silence
, et un débat auront lieu.« L’Intersection, collectif anti-raciste, féministe et anti-capitaliste te propose de les rejoindre à la Colonie, pour une joyeuse célébration
Car nos héritages sont aussi une affaire de fête !
La Colonie vous invite à une soirée de présentation et de débat avec les auteurs de l'ouvrage "Police. Questions sensibles" (PUF, 2018)
La revue PERSPECTIVE, la revue de l'INHA lance son numéro consacré au Maghreb à La Colonie !
NEGUS c’est le résultat d’une équation simple: un œil critique, une plume, une vision. Ce journal est pour tous ces observateurs du monde qui ont soif d’authenticité, de débat, de réflexion. Un monstre terrifiant de perspicacité et de réalisme qui balaye tous les domaines.
Présentation des enjeux de la prochaine Triennale de Photographie de Hambourg qui aura lieu du 7 juin au 7 septembre 2018, en présence des curators.
Nous sommes fiers d'accueillir samedi 21 et dimanche 22 octobre 2017 les Universités de la Rentrée de Présence Africaine. Voici le programme de ces deux journées de rencontres avec les écrivains de cette maison d'édition mythique.
La Colonie, un lieu de Savoir-vivre
et de Faire-savoir
Fondé par Kader Attia, Zico Selloum et leur famille.
La Colonie met au défi les postures amnésiques et délétères. C’est un lieu convivial qui engage, en toute indépendance, les chantiers du vivre et du penser ensemble.
En mettant en oeuvre ce projet, l’artiste Kader Attia entend poser au présent les questions de la décolonisation des peuples comme celle des savoirs, des comportements et des pratiques. Située dans un quartier où se mélangent populations africaines, indiennes et asiatiques, à deux pas de la gare du nord et donc aux carrefours de l’Europe comme du monde, La Colonie vise à réunir — sans exclusion et à travers ces formidables tribunes que peuvent être la création artistique et intellectuelle — toutes les identités et toutes les histoires, en particulier celles des minorités.
Tout à la fois repère et refuge, La Colonie est un espace à l’identité bigarrée : c’est un bar et une agora ; c’est un laboratoire et une lieu de fêtes ; c’est un lieu de paroles, d’écoutes, de partages, d’expérimentations et de monstrations.
Une architecture
Protégé du tumulte de la rue, l’espace en retrait de la Colonie est dominé par une haute verrière qui offre une lumière zénithale et paisible. Au rez-de chaussée, se déploie sur plus de 200 m2 l’espace du bar où l’on peut venir se reposer en prenant un café, où l’on donne rendez-vous à des amis pour boire un verre, où l’on peut manger sur le pouce, venir écouter un concert ou encore assister à une projection.
Au premier étage, une grande mezzanine donne sur le bar comme sur une court intérieure. Isolé du rez de chaussée par des vitres qui ne laissent passer que la lumière, cet espace est dédié au partage des savoirs en mouvement. On peut venir y écouter et proposer d’autres formes de pensées à travers des dialogues publics. La Colonie entend accueillir des collectifs, des militants, des groupes de recherches universitaires, des artistes, des acteurs sociaux pour les inviter à des partages libres d’expériences et de savoirs. On peut ici assister à des conférences, des lectures, des témoignages, participer à des workshops, des ateliers d’écritures…
Le deuxième étage est consacré aux différentes formes et concepts de l’art. Loin du contexte muséal ou institutionnel, les propositions artistiques y sont aussi bien conceptuelles que formelles, a-formelles ou performées. Les projets présentés sont également l’occasion d’élaborer une pensée critique non académique, en lien constant avec les enjeux de notre présent.
La structure architecturale du bâtiment, idéale pour ce type de combinaison, offre une grande fluidité entre les différents espaces car ici la vie, la pensée, l’engagement et les pratiques de l’art interagissent en synergie.
Une expérience de défragmentation
La Colonie se construit autour de la volonté de répondre à une urgence impérieuse de réparations sociales et culturelles.
Par delà les clivages religieux ou politiques, nos sociétés contemporaines ont atteint un niveau jusqu’alors inégalé de fragmentation que seul l’aménagement d’espaces de dialogues, de rencontres, de confrontations permettra de faire reculer. Ici comme un peu partout ailleurs, les fractures se démultiplient dans un silence criant, avec une violence accrue. La Colonie est une expérience de dé-fragmentation, de dé-morcellement, de réparations dans laquelle tout le monde est le bienvenu. Ce projet entend permettre aux savoirs universitaires de sortir des arcanes du pouvoir institutionnel et élitiste en leur permettant de se confronter à d’autres formes de transmissions. Il entend émanciper des modes d’appréhension et de savoir populaires, parfois non occidentaux, souvent minorés.
La Colonie souhaite décloisonner les savoirs, les pratiques, en valorisant une approche trans-culturelle, trans-disciplinaire et trans-générationnelle dans lequel tous et chacun trouve une place. Nous faisons le pari que sous l’égide de l’échange et de la palabre, l’art comme la pensée sont parmi les vecteurs les plus forts de cette défragmentation.
Si la Colonie est un lieu physique de rencontres, elle oeuvre également à l’archivage de ce présent en train de se faire et met à disposition librement les échanges et les expérimentations dont elle est le théâtre.
Kader Attia
Directeur et co-fondateur
Zico Selloum
Co-Fondateur de la Colonie
Sylvie Labiche
Directrice Administrative & Financière
Pascale Obolo
Responsable du Salon du Livre d'art des Afriques et des Editions de la Colonie
Alix Hugonnier
Coordinatrice de la programmation culturelle et artistique
Lucas Erin
Coordinateur de la production
Ava Attia
Responsable des réservations
Kristell Charbonneau
Responsable des privatisations - DRH
Christelle Boco
Responsable bar
Réalisation du site web
La Colonie est avant tout un lieu d'échange et de partage, et c'est dans cette idée que nous vous mettrons prochainement à disposition deux playlists : une comprenant notre sélection musicale, tandis que l'autre regroupera les derniers podcasts mis en ligne. Ces podcasts sont également disponibles directement dans leur évènement associé, prêts à être lancés pour accompagner votre visite.
Cette radio est disponible grâce à la plateforme de musique en ligne Soundcloud. Sur chaque podcast, le logo Soundcloud vous permettra d'accéder à sa page liée.