Exposition, Débats : 19 Juin - 14 Juillet
Discreet Violence : L'architecture et la guerre française en Algérie

Discreet Violence : L’architecture et la guerre française en Algérie est une exposition mise en place par la chercheuse Samia Henni. Présentée à Zurich, Rotterdam, Berlin, et Johannesburg, elle n’avait jamais été montrée en France jusqu’alors.

 

, de par sa place particulière dans le paysage culturel français et par son attention aux questions post-coloniales et de décolonisation, se devait de présenter Discreet Violence.

 

A cette occasion, elle porte le projet d’un ensemble de rencontres et de conférences autour de la militarisation et des espaces et des corps.

 

L’exposition Discreet Violence sera présente à  dès le 19 juin et sera doublée de réflexions sur la question de l’état d’urgence aujourd’hui en France, sur la continuité des pratiques architecturales militaires de l’armée française et sur la question des déplacements identitaires et mémoriels (19 juin) mais aussi sur les spoliations induites par l’existence des camps de regroupement (4 juillet).

 

L'exposition

Pendant la Révolution algérienne (1954-1962) ou la guerre d'Algérie, les autorités civiles et militaires françaises ont profondément réorganisé le territoire urbain et rural de l'Algérie, transformé radicalement son environnement bâti, implanté rapidement de nouvelles infrastructures et construit stratégiquement de nouvelles implantations afin de protéger les intérêts économiques de la France en Algérie et de maintenir l'Algérie sous la domination coloniale française en place depuis 1830.

L'exposition Discreet Violence ne présente qu'un seul aspect de ces transformations territoriales: la construction de camps sous contrôle militaire baptisés par euphémisme « centres de regroupement » dans les zones rurales algériennes. Ces espaces résultaient de la création des zones interdites de libre feu et ont engendré le déplacement forcé et massif de la population algérienne. Des unités militaires spéciales, appelées Sections administratives spécialisées, ont supervisé l'évacuation des zones interdites, le regroupement de la population algérienne, la construction de camps temporaires et permanents, la conversion de plusieurs camps permanents en villages et la surveillance au quotidien de la vie des civils algériens. Le but de ce regroupement était d'isoler la population algérienne de l'influence des combattants de la libération nationale et d'entraver les soutiens psychologiques et matériels potentiels.

Le nombre exact de camps qui ont été construits pendant la guerre, le nombre de personnes ayant été forcées de quitter leurs maisons, ainsi que le nombre de villages dévastés, sont encore contestés à ce jour. En 1960, il a été estimé qu’il y aurait eu, 2 157 000 personnes déplacées de force. Une autre évaluation de 1961 a estimé qu'au moins 2 350 000 personnes avaient été concentrées dans des campements contrôlés par les militaires et que 1 175 000 autres personnes avaient été forcées de quitter leurs maisons en raison d'opérations militaires constantes et violentes, ce qui signifie que plus de 3,5 millions de personnes avaient été forcées, déplacées. Une autre estimation du 15 février 1962, quelques semaines avant l'indépendance de l'Algérie, indiquait que 3 740 camps avaient été construits en Algérie française depuis le déclenchement de la Révolution algérienne en 1954.

Basé sur des photographies militaires françaises et des films produits par les équipes de propagande du Service cinématographique des armées (SCA) et d'autres sources publiques et privées, l'exposition «Discreet Violence: architecture et guerre française en Algérie» présente certains aspects de l'évacuation de la population rurale algérienne, les processus de construction des camps et les conditions de vie dans les camps. L’exposition décrit la manière dont le régime colonial français a tenté de détourner les objectifs militaires des camps à la suite d'un scandale médiatique en 1959. L'exposition dévoile les relations intrinsèques entre l'architecture, les mesures militaires, les politiques coloniales et la production et la distribution planifiées d'enregistrements visuels. Aujourd'hui, le SCA s'appelle établissement de communication et de production audiovisuelle de défense (ECPAD) et est toujours actif dans les zones de guerre où l'armée française est impliquée.

L'exposition est organisée par le Dr. Samia Henni et produite par et les expositions gta, ETH Zurich.

Programme
mardi 19 juin
16:00Next18:00
Table rondes – conférences

Avec Samia Henni, Léopold Lambert, Hassina Mechaï et Sihem Zine

 

Bidonvilles : Alger, Paris : Samia Henni présentera les politiques de résorption des bidonvilles que les autorités coloniales françaises avaient appliquées à Alger durant le Révolution Algérienne (1954-1962) et leur exportation et mise en application à Paris, notamment à Nanterre. Elle parlera des rôles et du rapport entre les Sections administratives urbaines à Alger et la Société nationale de construction de logements pour les travailleurs algériens à Paris.

Le 17 octobre 1961 à Paris : histoire spaciale de l’état d’urgence français : Léopold Lambert s’arrêtera sur un épisode particulier de l’histoire spatiale de l’état d’urgence français qu’il tente de décrire dans son travail : celui du massacre du 17 octobre 1961 à Paris. Généralement connu de beaucoup comme un pic de violence ponctuel et localisé de la police parisienne à l’encontre des manifestant.e.s algérien.ne.s, cette présentation tâchera de démontrer qu’il s’agissait en fait d’un événement mobilisant une multiplicité d’espaces dans Paris et ses banlieues et de temporalités durant le mandat de Maurice Papon en tant que Préfet de la Seine (1958-1966) et l’état d’urgence (1961-1962).

L’état d’urgence (permanent) : Le 14 novembre 2015 était déclaré l’état d’urgence en France. Durant presque 2 ans, le pays a vécu sous un régime d’exception dérogatoire au droit commun. Diverses mesures pouvaient être prises par l’autorité administrative, de perquisitions en assignations, de fermeture de lieux de culte en interdiction de sortie du territoire. Le livre L’état d’urgence (permanent) écrit par Hassina Mechaï et Sihem Zine interroge cet état d’exception désormais de droit commun, depuis le 3 octobre 2017. A travers des témoignages de personnes touchées par ces mesures, d’interviews de juristes, philosophes, experts, ce livre esquisse un bilan de l’état d’urgence et ouvre une réflexion sur un changement de société qui s’est fait sans coup d’éclat juridique, mais de glissement imperceptible en glissement dangereux. Vers où l’état d’urgence mène-t-il ?

18:30Next00:00
Vernissage et visite guidée de l'exposition
mercredi 4 juillet
Les déracinés de Cherchell (Editions de l'Ined)

invite à une rencontre et une discussion autour du livre, Les déracinés de Cherchell (éditions de l'Ined), autour de l’histoire des camps de regroupement avec Kamel Kateb (auteur), Yann Scoldio-Zurcher (historien à confirmer) et Dorothée Myriam Kellou (cinéaste et journaliste) qui présentera pour l’occasion les premières images de son documentaire L’Arrachement

Les déracinés de Cherchell : Entre 1954 et 1962, un quart de la population fut déplacé par les autorités militaires françaises et confiné dans des camps de regroupement pour détruire ce que les autorités françaises considéraient comme des soutiens aux groupes armés qui luttaient pour l’indépendance.

Coupés de leurs terres et de leurs moyens de subsistance, ces populations relativement pauvres, pour l’essentiel des femmes, des enfants et des personnes âgées, durent recréer de nouvelles vies dans ces camps de fortune. Ces déplacements ont constitué une rupture profonde dans les conditions d’existence de milliers de paysans algériens, bien au-delà de la période où ils furent enfermés dans ces camps.

Cet ouvrage reconstitue la trajectoire de certains témoins de la région de Cherchell qui ont subi ces déplacements forcés, et apporte, à travers cette série de récits, une pierre essentielle à l’édifice d’une mémoire souvent oubliée ou occultée.

Emportés collectivement dans les secousses de la guerre, ces femmes et ces hommes ont vécu, chacun à leur manière, des parcours qui les ont menés dans des directions différentes.
Les auteurs ont minutieusement récolté ces récits de vie, ces parcours cassés, qui malgré la douleur et l’arrachement ont pu, quelquefois, engendrer aussi de belles histoires.

Un grand merci à Nadine Attalah, Kader Attia, Guus Beumer, Jean-Louis Cohen, Michel Cornaton, Lucas Erin, Patricia Falguières, Fred Fischli, Flora van Gaalen, Alix Hugonnier, Léopold Lambert, Lucie Moriceau, Niels Olsen, Nataša Petrešin Bachelez, Véronique Pontillon, Sabine Sarwa, Nadine Schütz, Pascal Schwaighofer, Daniel Sommer, Laurent Stalder, Philip Ursprung, Clément Willemin et Pierre Willemin.

Photo en tête : Photographie aérienne des camps de regroupement dans le secteur opérationnel militaire de Saïda, Région d’Oran, Algérie, février - avril 1959 © Flament, Marc / Archives Privées / ECPAD

Biographies
Samia Henni

est architecte et maître assistante à l’École d’architecture de l’Université de Princeton aux États Unis. Elle travaille sur les intersections entre les pratiques coloniales, les opérations militaires, l’architecture et l’urbanisme. Elle est l’auteure de Architecture of Counterrevolution: The French Army in Northern Algeria (Zurich: gta Verlag, 2017) et commissaire de l’exposition Discreet Violence: Architecture and the French War in Algeria. Elle a obtenu son doctorat en Histoire et théorie de l’architecture (avec mention très bien) de l’ETH Zurich. Sa thèse a reçu la Médaille de l’ETH.

Kamel Kateb est chercheur à l'Institut national d'études démographiques (INED). Ses recherches portent sur l'histoire des populations des pays du Maghreb, leur système éducatif et les migrations entre le Maghreb et l'Europe. Il a notamment publié Européens, « Indigènes » et Juifs en Algérie (1830-1962) (INED), Fin du mariage traditionnel en Algérie ? (1876-1998) (Bouchène). Il est aujourd’hui l’auteur Des déracinés de Cherchell.

 

Léopold Lambert

est architecte, chercheur et éditeur-en-chef de The Funambulist, une revue bimestrielle dédiée à des lectures spatiales de luttes décoloniales, antiracistes, queer et féministes dans le monde. Il est l’auteur de trois livres examinant la violence intrinsèque de l’architecture et son instrumentalisation politique : Weaponized Architecture : The Impossibility of Innocence (2012), Topie impitoyable : La politique du vêtement, du mur et de la rue (2015) et La politique du bulldozer : La ruine palestinienne comme projet israélien (2016). Son prochain livre s’appellera États d’urgence : Une histoire spatiale du continuum colonial français (2019).

Hassina Mechaï

est journaliste. Juriste de formation, elle a notamment travaillé sur les questions de Libertés publiques et Droits de l’Homme. Journaliste, elle a travaillé pour divers médias français, africains et arabes. Elle collabore actuellement avec des publications internationales, notamment le Middle East Eye, Perspektif Mag, le Middle East Monitor ou encore Le Point. Ses domaines de réflexion sont essentiellement les questions internationales, les rapports Nord-Sud, le Softpower, le monde arabe et l’Afrique. C’est à la suite d’une enquète sur l’état d’urgence en France, au cours de laquelle elle a été amenée à rencontrer diverses personnes touchées par des mesures d’exception que l’idée de ce livre est née. Ce livre, tel qu’il a été envisagé, est une façon de poser, comme juriste et comme journaliste, les questions que l’état d’urgence soulève, et les dangers qu’il fait peser sur la société française et ses citoyens.

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Informations
Le Projet

, un lieu de Savoir-vivre et de Faire-savoir

 

Fondé par Kader Attia, Zico Selloum et leur famille.

 

met au défi les postures amnésiques et délétères. C’est un lieu convivial qui engage, en toute indépendance, les chantiers du vivre et du penser ensemble.

 

En mettant en oeuvre ce projet, l’artiste Kader Attia entend poser au présent les questions de la décolonisation des peuples comme celle des savoirs, des comportements et des pratiques. Située dans un quartier où se mélangent populations africaines, indiennes et asiatiques, à deux pas de la gare du nord et donc aux carrefours de l’Europe comme du monde, vise à réunir — sans exclusion et à travers ces formidables tribunes que peuvent être la création artistique et intellectuelle — toutes les identités et toutes les histoires, en particulier celles des minorités.

 

Tout à la fois repère et refuge, est un espace à l’identité bigarrée : c’est un bar et une agora ; c’est un laboratoire et une lieu de fêtes ; c’est un lieu de paroles, d’écoutes, de partages, d’expérimentations et de monstrations.

 

 

Une architecture

Protégé du tumulte de la rue, l’espace en retrait de est dominé par une haute verrière qui offre une lumière zénithale et paisible. Au rez-de chaussée, se déploie sur plus de 200 m2 l’espace du bar où l’on peut venir se reposer en prenant un café, où l’on donne rendez-vous à des amis pour boire un verre, où l’on peut manger sur le pouce, venir écouter un concert ou encore assister à une projection.

 

Au premier étage, une grande mezzanine donne sur le bar comme sur une court intérieure. Isolé du rez de chaussée par des vitres qui ne laissent passer que la lumière, cet espace est dédié au partage des savoirs en mouvement. On peut venir y écouter et proposer d’autres formes de pensées à travers des dialogues publics. entend accueillir des collectifs, des militants, des groupes de recherches universitaires, des artistes, des acteurs sociaux pour les inviter à des partages libres d’expériences et de savoirs. On peut ici assister à des conférences, des lectures, des témoignages, participer à des workshops, des ateliers d’écritures…

 

Le deuxième étage est consacré aux différentes formes et concepts de l’art. Loin du contexte muséal ou institutionnel, les propositions artistiques y sont aussi bien conceptuelles que formelles, a-formelles ou performées. Les projets présentés sont également l’occasion d’élaborer une pensée critique non académique, en lien constant avec les enjeux de notre présent.

 

La structure architecturale du bâtiment, idéale pour ce type de combinaison, offre une grande fluidité entre les différents espaces car ici la vie, la pensée, l’engagement et les pratiques de l’art interagissent en synergie.

 

 

Une expérience de défragmentation

se construit autour de la volonté de répondre à une urgence impérieuse de réparations sociales et culturelles.

 

Par delà les clivages religieux ou politiques, nos sociétés contemporaines ont atteint un niveau jusqu’alors inégalé de fragmentation que seul l’aménagement d’espaces de dialogues, de rencontres, de confrontations permettra de faire reculer. Ici comme un peu partout ailleurs, les fractures se démultiplient dans un silence criant, avec une violence accrue. est une expérience de dé-fragmentation, de dé-morcellement, de réparations dans laquelle tout le monde est le bienvenu. Ce projet entend permettre aux savoirs universitaires de sortir des arcanes du pouvoir institutionnel et élitiste en leur permettant de se confronter à d’autres formes de transmissions. Il entend émanciper des modes d’appréhension et de savoir populaires, parfois non occidentaux, souvent minorés.

 

souhaite décloisonner les savoirs, les pratiques, en valorisant une approche trans-culturelle, trans-disciplinaire et trans-générationnelle dans lequel tous et chacun trouve une place. Nous faisons le pari que sous l’égide de l’échange et de la palabre, l’art comme la pensée sont parmi les vecteurs les plus forts de cette défragmentation.

 

Si est un lieu physique de rencontres, elle oeuvre également à l’archivage de ce présent en train de se faire et met à disposition librement les échanges et les expérimentations dont elle est le théâtre. 

L'équipe

Kader Attia

Directeur et co-fondateur

Zico Selloum

Co-Fondateur de

Sylvie Labiche

Directrice Administrative & Financière

Pascale Obolo

Responsable du Salon du Livre d'art des Afriques et des Editions de

Alix Hugonnier

Coordinatrice de la programmation culturelle et artistique

Lucas Erin

Coordinateur de la production

Ava Attia

Responsable des réservations

Kristell Charbonneau

Responsable des privatisations - DRH

Christelle Boco

Responsable bar

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